15/10/09 Grogne chez les ambulanciers des pompiers de Mons

15.10.09 - 09:51
Certains membres du cadre blanc ont adressé aux autorités une lettre ouverte. Ils se disent à bout de souffle par manque de personnel. L'initiative n'est pas soutenue par les syndicats.

Dans cet appel à la prise de conscience adressés notamment aux autorités communales et provinciales, les signataires au nombre de 9 se disent désormais incapables d'assurer un "service ambulancier performant et efficace" pour les quelque 280.000 citoyens de la zone couverte par les pompiers de Mons. Alors qu'ils devraient être 48, ils ne sont qu'une trentaine d'ambulanciers.

Pour pallier au sous-effectif, la caserne recourt à des pompiers "polyvalents", c'est-à-dire du personnel qui assure des missions de pompier comme d'ambulancier en fonction des besoins.

Mais pour les signataires de cette lettre ouverte, ce n'est pas la panacée. Manquant d'expérience de terrain, ceux-ci n'auraient pas toujours les bons réflexes en matière d'aide médicale d'urgence. Et les signataires de rappeler que cette tendance croissante à recourir à des polyvalents est contraire à la création, en 1999, d'un corps spécifique d'ambulancier dans une optique de spécialisation des métiers. Selon le Commandant Denis Flasse, ces inquiétudes sont largement exagérées. Il rappelle que les pompiers polyvalents ont suivi la même formation que les ambulanciers et que dès lors la qualité du service ambulancier des pompiers de Mons est garantie.

(J. Durant) www.rtbf.be

Un requiem pour le service blanc montois

MONS. Lettre ouverte à la caserne des pompiers. Des sapeurs-ambulanciers s'inquiètent de leurs conditions de travail. Selon eux, le service se dégraderait rapidement. Le commandant de la caserne dément.

Lettre ouverte pour la défense du service blanc à la caserne des pompiers de Mons. Le mail rédigé par un sapeur ambulancier, Albert Bauduin, est déjà cosigné par neuf de ses collègues. Des gars qui disent vouloir sauver leur cadre ambulancier exclusif en vertu de la convention prise en 1996 par leur directeur médical, Dr Dumoulin, avec l'appui de leur capitaine M. Devos. « Mons fut citée en exemple à cet égard », se souvient M. Bauduin. Son but avoué, est de sauvegarder un service de sapeurs pompiers qui se dédient exclusivement à la cause de l'aide médicale urgente.

Le mail évoque une démotivation, une désaffectation du nombre d'ambulanciers et de sous-officiers, d'un service qui menace de s'éteindre faute de renouvellement du cadre, et qui dans l'immédiat, se dégrade fortement… Au vœu de spécialisation, M. Denis Flasse, commandant de la caserne, oppose la philosophie de la polyvalence. « La plupart du temps, les hommes se chargent de personnes ivres et violentes… L'ambulancier qui va à leur secours a assez de sa formation légale mixte de base feu (rouge)/ambulance (blanc) », justifie-t-il. Son meilleur atout, c'est la réforme des services de secours, en cours, et « qui ne ferait plus la distinction entre les rouges et les blancs ». Le blanc exclusif, sacrifié sur l'autel du travail social de l'ambulancier ?

M. Flasse s'indigne. « Cette action, organisée sans l'appui syndical, est de nature à induire une psychose injustifiée auprès de la population. L'organisation des ambulances est efficace. Les salaires sont bons. Les heures de week-end sont payées doubles. Ces personnes apprécient en fait, d'être maternées par leur direction. Mais les nécessités du travail en caserne ne le permettent plus ! »

Riposte des protestataires : « Nous revendiquons seulement une culture d'entreprise, alors que notre service se déshumanise ! M. Devos, notre ancien capitaine, était passionné par l'AMU. Tout le contraire de son successeur, qui fait peu de cas de notre travail quotidien. Les ambulances ne sont désinfectées comme elles le devraient : à l'heure de l'épidémie de grippe AH1N1, cela peut faire mal ! »

(GISELE MARECHAL) www.lesoir.be

"Ne tirez pas sur l'ambulance"

Alors que le service d'incendie de Mons ouvrira ses portes au public ce dimanche (voir par ailleurs), on ne doute pas que la manifestation se déroulera dans une certaine tension.

C'est que l'un des ambulanciers du service a jeté un véritable pavé dans la mare en adressant une lettre ouverte au gouverneur, aux responsables de son service, à différentes organisations syndicales (et à la pres- se). L'initiative ne recueille pas un soutien général, loin s'en faut, mais A. B. n'en a cure.

"On était des simples brancardiers et, avec le temps, on en est arrivé à aider les médecins sur les interventions", explique celui qui appartient au cadre blanc depuis 1996. "Aujourd'hui, on régresse, par manque de moyens. La solution, c'est d'embaucher et on nous répond qu'il n'y a pas d'argent pour le faire. J'ai envie de dire que la vie n'a pas de prix."


Comme on l'imagine, cette initiative n'est pas la bienvenue parmi les gradés du service.

"Lorsque le cadre a été créé en 1996, un seul officier était contre et c'était le lieutenant Flasse, qui est aujourd'hui commandant. J'ai l'impression qu'il a envie d'avoir recours à des pompiers polyvalents. Mais faire ce travail demande une réelle expérience et, si ce sont de très bons pompiers, ils n'ont pas cette expérience nécessaire, celle que l'on acquiert chaque jour."

A. ne craint pas que la situation se détériore entre les différentes composantes du centre de secours montois.

"Parce que des tensions, il y en a déjà. C'est normal dans la mesure où on demande à des pompiers de monter en ambulance alors qu'ils n'en ont pas envie. La plupart des ambulanciers me soutiennent, les autres me reprochent mon initiative. Mais j'ai 52 ans et je pense avant tout au bien des autres."

Le service d'incendie montois compte entre 130 et 140 membres. C'est le cadre qui avait été défini en 1975 mais depuis, les missions ont pratiquement quadruplé. Les blessés et malades de longue durée ne sont plus remplacés. Selon lui...




Grégory Dufert www.dhnet.be

Appel à la prise de conscience

Lettre ouverte des sapeurs pompiers de Mons






Mesdames, messieurs,



Nous sommes sapeurs pompiers professionnels au sein du Service incendie de Mons, et plus particulièrement membres du cadre blanc. Actuellement, il nous semble important et urgent de réagir face à plusieurs problèmes importants que nos supérieurs ne prennent pas à cœur et qu’ils négligent, mais dont il faut absolument débattre.



Le service incendie de Mons n’est plus à même de garantir un service ambulancier performant et efficace envers les citoyens car il y a un énorme problème de personnel et de ce fait, de qualité du service.



Nous avons connu une période, où nous avions un médecin officier et un officier qui nous dirigeaient et nous soutenaient, depuis le décès du Docteur Dumoulin et le départ du capitaine Devos (officier responsable du cadre blanc), le service ambulance ne fonctionne plus comme avant et se dégrade fortement.



Il ne suffit plus d’avoir un badge A.M.U. (Aide Médicale Urgente) pour avoir la compétence de rouler en ambulance, nous estimons qu’il est vital d’avoir une certaine expérience dans le métier, c’est d’ailleurs pour cette raison que le cadre ambulancier a été créé, en 1996.



Ce projet a été mis en place parce qu’il avait été démontré qu’il était impossible pour un pompier d’être performant dans les différents secteurs de son travail, suite à l’évolution constante de l’aide médicale urgente.



C’est officiellement en février 2000 que ce cadre a été officiellement concrétisé, avec la création d’un effectif de sous officiers et de caporaux, afin de gérer correctement la section ambulance. Le but a été accompli, sauf qu’au niveau des hommes, le nombre d’ambulancier n’a pas suivi, et on peu dire maintenant, qu’il est en dessous de la moyenne.



L’objectif de compléter le cadre ambulancier a été tout simplement abandonné. De ce fait et afin d’assurer les départs, il a été décidé d’intégrer des polyvalents (pompiers) au sein des ambulances, en respectant le fait qu’il y ait au moins un attitré ambulancier avec lui.



A l’heure actuelle, ceci devient de plus en plus difficile, voir certains jours, impossible et la plupart du temps deux départs seulement sont garantis pour une population d’environ 280.000 personnes, le troisième départ n’est fait qu’au cas ou les deux autres seraient indisponibles, c'est-à-dire à la demande (ce qui veut dire que le départ sera fait par deux pompiers qui ont une autre fonction a la garde). Ce qui évidement allonge fortement les temps de départs. Pour rappel (loi du 8 juillet 1964) il est bon de signaler que les ambulances sont prévues dans la dotation obligatoire de tous les services incendie (Annexe 2 de l’A.R.).

Qu’arriverait il maintenant, si une catastrophe arrivait, j’ai des doutes quant à l’efficacité immédiate des secours, du moins dans la situation actuelle.



Vu que le service ne renouvelle pas le cadre ambulancier et le laisse s’éteindre, bientôt, les départs ambulanciers ne seront faits que par des polyvalents qui n’ont pas assurément une expérience dans le domaine, tout comme les ambulanciers ne pourraient pas l’avoir au niveau de l’incendie



Un autre problème se pose à nous, car les responsables ne considèrent plus le cadre « blanc » comme tel, ils ne le gèrent plus avec passion (comme le capitaine Devos).

Nous estimons que la personne responsable d’un service doit en connaître le fonctionnement ainsi que tout ce qui le concerne. Ce n’est pas du tout le cas !



Il est inadmissible qu’un dirigent ne sache même pas qu’il y a un chauffeur SMUR à l’hôpital, qu’il ne connaisse pas non plus le matériel et les commandes à suivre, ni non plus le fonctionnement du cadre ambulance. Il est également incompréhensible qu’un officier soit désigné pour gérer le cadre ambulancier alors qu’il ne possède même pas le brevet !

Un autre officier s’est proposé de gérer le cadre vu qu’il possède son brevet, et qu’il est enthousiaste afin de reprendre ce cadre en main, cela lui a été refusé par notre hiérarchie. Tout simplement aberrant puisqu’il a déjà les compétences et la volonté de perfectionner le service.



Avant, les officiers et les sous-officiers, s’inquiétaient de notre travail, ils étaient à l’écoute de tout ce qui se passait au sein du service, notre officier passait de temps à autre à l’hôpital se renseigner si tout allait bien, le journalier était consulté (ce qui n’est plus du tout le cas, on ne le regarde même plus). Depuis le départ du Cpt Devos, nous n’avons jamais vu son remplaçant se présenter au SMUR. On invoque trop de travail de prévention ou d’administration.

Est-ce une raison pour laisser ce secteur de côté alors que le département ambulance effectue environ 80% des sorties du service incendie ?



Trop de négligences ont été constatées et il n’est pas de la priorité de notre commandant d’améliorer la situation, bien au contraire, son souhait serait de voir disparaître le cadre ambulancier et de retourner à la polyvalence complète. Il a apparemment oublié que ce service est VITAL pour la population.

Nous sommes en train de retourner en arrière !

Ceux qui n’ont pas connu « l’époque du SAMU » ne peuvent pas comprendre, mais il fut un temps où le service incendie de Mons était « LA » référence en ce qui est de l’aide médicale urgente.

Nous étions en effet à la pointe, actuellement nous ne sommes plus suivi ni soutenu, on peut même dire que nous sommes oubliés.



Notre officier médecin actuel, le docteur Van Trimpont n’a plus les considérations de notre hiérarchie. Plusieurs fois il a tenté de persuader notre commandant du bien fondé du cadre blanc et de la nécessité des formations, ou des exercices mais, le commandant n’en voit pas l’utilité ni l’importance.



Un autre point à relever est tout aussi important, cela concerne l’entretien des véhicules et du matériel, les pompiers n’ont pas trop ce problème. Mais pour les ambulances, il n’est pas évident de faire une désinfection complète d’un véhicule, vu le nombre d’interventions grandissant. Il faut savoir que pour désinfecter une ambulance, il faut totalement la déséquiper et nettoyer entièrement chaque partie de la cabine et du matériel.

Mais si tous les ambulanciers sont en intervention, qui le fera ?

Il faut du temps pour désinfecter correctement une ambulance, il n’y a pas que le véhicule, il y a le petit et le gros matériel également.

A l’heure ou nous rappelons des pompiers en fin de carrière pour travailler au garage ou au téléphone,

ne pourrions nous pas rappeler deux ambulanciers une fois par semaine pendant une matinée, afin d’effectuer cette tâche correctement ?

Ceci permettrait au moins de faire quatre véhicules sur un mois.



Des propositions concrètes et efficaces avec la procédure correcte de désinfection ont été données à notre officier par un adjudant (infirmier de formation). Celui-ci n’a pas considéré cela comme étant important et s’est retranché derrière une note de service… On invoque aussi une question de coût, alors qu’on dépense sans regarder pour d’autres choses au sein du service (piste masque, matériel futile…).

Des solutions évidentes ont été proposées par les sous-officiers chargés de cours en ce qui concerne la formation, mais aucunes n’ont été suivies.

Pourquoi ne pas mettre en évidence les formations spécifiques de nos personnels au sein du service ?

Est-il normal de voir un infirmier hospitalier venir faire des visites médicales d’aptitudes alors que le service compte 3 infirmiers ?



L’aide médicale urgente est en pleine évolution, d’autres moyens apparaissent tels que le P.I.T., qui part d’un hôpital. Il est également à craindre dans un avenir proche que nous perdions notre fonction de chauffeur SMUR, la gestion de la logistique n’étant déjà plus de notre ressort alors que les véhicules sont toujours au sein de notre service.

Pourquoi ne pas continuer de profiter de notre expérience ?

Qu’allons-nous devenir si nous perdons notre cadre blanc et si nous nous voyons retiré nos fonctions au sein de ces services ?



La grippe, le développement de maladies telle que la tuberculose demande aussi des formations spécifiques que des pompiers polyvalents ne pourraient pas suivre au vu de leurs attributions dans le rouge.



Pour ce qui est de l’état d’esprit actuel, la majorité du personnel est saturé et accumule des temps de service et de prestation. (Rappel, continuité de service, remplacement…) La démotivation se ressent de jours en jours. Les tensions sont évidentes au sein des équipes, il y a une démotivation totale, et les maladies de longues durées au sein du service deviennent fréquentes…

A qui la faute ?



Nous en sommes actuellement du simple au double pour ce qui est du temps de travail, le stress, les tensions au travail et au sein des familles se fait de plus en plus sentir.

De plus, il n’y a plus aucune reconnaissance ni de considération de la part de nos responsables qui n’hésitent pas à nous insulter voir de nous humilier alors que nous prenons notre métier à cœur. Tout est fait de façon à être dégoûté de travailler.

A l’heure actuelle, une grande partie de nos collègues n’ont plus le goût, ni le plaisir de travailler, se sentent délaissés. Certains quittent le cadre ambulancier, y compris dans les sous-officiers, qui ne voient pas d’évolution positive.

La majorité des officiers se considèrent comme purement administratifs, et ne s’intéressent pas à ce qui est au niveau inférieur.



Nous pensons qu’il est temps de réagir positivement et rapidement afin de combler le manque de personnel et de gestion adéquate afin de donner aux citoyens le service qu’ils méritent.



Nous avons besoin de l’effectif complet au sein des ambulances pour ne pas laisser les gens mourir.



On dit que la vie n’a pas de prix ? Permettez nous d’en douter !

A-t-on tiré réellement les leçons des drames de l’incendie des Mésanges, et de la catastrophe de Ghislenghien ?



Nous attendons des propositions concrètes de votre part car nous avons le droit de travailler correctement.

Il y a beaucoup de vrai, là-dedans...

Narcan a écrit:Il y a beaucoup de vrai, là-dedans...

Ainsi qu'énormément de mensonges ou de versions "arrangées des choses".

A lire également les réponses du chefs de service à ce sujet, mais évidemment personne pour les poster sur ce site.

Aux membres du forums, vous qui avez tant pesté contre les inteprétations sensationnalistes et unilatérales d'une certaine presse, ayez pour celui ci le même mode de réflexion que celui adoptés sur certains sujet (par ex celui du bizutage des stagiaires de Nivelles)

soux a écrit:

Narcan a écrit:Il y a beaucoup de vrai, là-dedans...

Ainsi qu'énormément de mensonges ou de versions "arrangées des choses".

A lire également les réponses du chefs de service à ce sujet, mais évidemment personne pour les poster sur ce site.
Aux membres du forums, vous qui avez tant pesté contre les inteprétations sensationnalistes et unilatérales d'une certaine presse, ayez pour celui ci le même mode de réflexion que celui adoptés sur certains sujet (par ex celui du bizutage des stagiaires de Nivelles)

Si tu en disposes d'un exemplaire, pourquoi ne pas nous en faire profiter ?

soux a écrit:Ainsi qu'énormément de mensonges ou de versions "arrangées des choses".

Une petite liste des mensonges, peut-être?
Je te conseille quand même de tourner 7 fois ton clavier sur ton bureau avant d'être aussi catégorique...

A lire également les réponses du chefs de service à ce sujet, mais évidemment personne pour les poster sur ce site.

Vite, le lien..je suis effectivement intéressé par toute réponse argumentée de la Hiérarchie, autre que "Ce n'est pas vrai..C'est une horrible calomnie"

Aux membres du forums, vous qui avez tant pesté contre les inteprétations sensationnalistes et unilatérales d'une certaine presse, ayez pour celui ci le même mode de réflexion que celui adoptés sur certains sujet (par ex celui du bizutage des stagiaires de Nivelles)

Ne comparons pas des pommes et des poires...
Je ne trouve, personnellement, rien de sensationnaliste dans ce texte.. Il y a certes des réactions d'écorché vif...mais aussi des vérités connues depuis des années par qui connaît la question...

Je viens de prendre mon service et je lis le courrier " lettre ouverte des pompiers de Mons ", tout ce que je peux dire c' est que que dans ce courrier il y a un tas de mensonges et surtout venant d' une personne qui ne représente pas d'une facon positive le service !! Ce qu' il faut bien comprendre c' est que la plupart des polyvalents sommes scandalisés de prendre certaines choses en pleine figure alors que sur le terrain je peux affirmer que nous sommes très éfficaces. Je n' ai pas le temps de m' étendre sur le sujet a cet instant, mais je crois bien que nous allons également écrire une lettre pour parler de ce qui ne va pas et il y a bien des choses a dire sur certaines personnes qui ne représentent vraiment pas le service d' incendie, j' ai travaillé dans le privé et je peux dire qu' on ne fait pas le dixième de ce que certains font içi . Bernard B

soux a écrit:A lire également les réponses du chefs de service à ce sujet, mais évidemment personne pour les poster sur ce site.

Dès que nous les recevrons, elles seront postées !!!!

D'accord avec toi "Narcan"

Toujours pas de réaction ????

C'est angoissant ce silence....

En ce qui concerne le personnel du SRI Mons, le Cdt est descendu dans les 4 équipes et a lancé un appel au calme car une véritable révolution se préparait.
Nous avons donc passé une excellente journée portes ouvertes en faisant abstraction de tout cela.
Néanmoins,on sait très bien que ça n'en restera pas là.
JL

Je suis d'accord d'ecouter les gens qui travaillent dans ce service.
Pour les autres, eviter de parler pour faire du bruit.