Elle invente une agression des policiers à Liège - Tel est pris qui croyait prendre ...

Joëlle a prétendu que les agents l’avaient battue ainsi que son fils, mineur d’âge. Cela semble loin de la vérité

LIÈGE En août 2009, les policiers sont intervenus pour un différend de voisinage. Joëlle et son fils se sont énervés et, après plusieurs sommations, les policiers les ont menottés.

Pendant leur interpellation, le jeune ne s’est pas calmé. Il s’est tellement débattu qu’il est tombé et s’est fortement blessé à l’œil. Les agents ont appelé une ambulance, mais le violent a refusé de se faire soigner. Ensuite, Joëlle a déposé une plainte en prétendant avoir été battue par les policiers, tout comme son fils.

Elle s’est également répandue dans certains médias en précisant même : “C’est clair que je ne vais pas laisser passer cela. Ils ont frappé mon fils parce que c’est un ado et qu’il n’allait pas répliquer. J’irai jusqu’au tribunal.”

Joëlle n’a pas menti sur un point. Le dernier : elle est bien allée jusqu’au tribunal. Mais comme prévenue de dénonciation calomnieuse envers les policiers et non en tant que victime.
En effet, une enquête interne a totalement blanchi les policiers qui ont décidé de déposer une plainte contre l’intéressée.
Les témoins ont totalement confirmé la version des policiers tandis que des contradictions sont apparues dans les déclarations de Joëlle et de son fils.
Les policiers se sont présentés en nombre à l’audience où Joëlle, après plusieurs comparutions et des remises suite à la défection de son avocat, a décidé de faire défaut.

Me Julie Lejeune a réclamé 500 € de dommages pour chacun des 20 policiers lésés. Le parquet a requis 4 mois de prison avec sursis.

Juste retour des choses !

Bien dit juste retour des choses