02-03-2018 La libre : moins d ambulances les luxembourgeois en danger

vieux a écrit:Par contre, les services qui déclarent 4 départs mais ne sont en fait disponible que pour 1 verront leurs subsides supprimés.

vieux a écrit:D'après mes infos, (presque) aucune ambulance opérationnelle ne serait supprimée.

Par contre, les services qui déclarent 4 départs mais ne sont en fait disponible que pour 1 verront leurs subsides supprimés.

www.dhnet.be a écrit:Moins d’ambulances en province de Luxembourg ? Maggie De Block ne confirme pas

Le député Benoît Piedboeuf l’a interpellée au sujet de la réforme de l’aide médicale urgente

Benoît Piedboeuf, député fédéral et bourgmestre de Tintigny, vient d’interpeller la ministre fédérale de la santé au sujet de la réforme de l’aide médicale urgente, à la suite des déclarations du commandant de la zone de secours relatives à la diminution du nombre d’ambulances agréées de 33 à 17.

Maggie De Block n’a pas confirmé cette information précisant que "la discussion en province de Luxembourg résulte visiblement d’une interprétation hors contexte du plan de soins non planifiables."

Elle a précisé que le gouvernement a triplé le budget de l’aide médicale urgente, puisqu’il est passé de 26 millions à 74 millions d’euros par an. Selon la ministre fédérale de la santé, "pour la première fois depuis l’entrée en vigueur de la loi de 1964, le seuil de service minimum sera défini".

Le service level agreement vise à ce que les interventions menées dans ce cadre le soient endéans les quinze minutes et à destination de 90 % de nos concitoyens. Dans un souci d’efficacité, des simulations relatives au nombre de départs ont été organisées afin d’atteindre ce seuil. Les 350 départs simulés permettent non seulement de garantir une présence chez le patient dans les quinze minutes, mais aussi d’assurer que 98 % des interventions sont accomplies dans les vingt minutes.

La ministre affirme que les zones rurales sont un point d’attention du plan. "S’il est approprié que les services d’ambulance ayant moins d’interventions organisent pour cela une permanence dans ces zones rurales, le support nécessaire sera fourni à cet égard", affirme Maggie De Block. "Il y a actuellement des temps d’attente allant jusqu’à quarante minutes dans ces zones. La programmation doit être correctement adaptée aux besoins du terrain et divers scénarios sont élaborés selon la Région. Le meilleur scénario doit être choisi, mais ce choix n’a pas encore été fait. Le principe directeur de ce choix doit être une offre de soins efficace, qui réponde aux besoins des patients dans tout le pays."

Nadia Lallemant