CIC Liège
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CIC Liège
400.000 appels téléphoniques par an
Le CIC de Liège centralise tous les appels d'urgence de la province. Les communes de Liège, Seraing, Flémalle et Herstal gèrent leurs interventions.
Après les zones téléphoniques de Huy, Verviers, Eupen, le CIC de Liège centralise, depuis lundi, les appels téléphoniques d'urgence de la zone 04. En clair, le Centre d'information et de communication (CIC) recevra environ 400.000 appels téléphoniques par an.
"Ces appels seront collectés et traités par une équipe de 79 personnes", explique le commissaire divisionnaire Philippe Geonet, le patron du CIC liégeois.
Centraliser les appels
Concrètement, si vous formez le 101 dans un endroit dépendant de la zone 04, vous arrivez au CIC. Là, un "call-talker", reçoit votre appel et prend les renseignements nécessaires pour diligenter une intervention policière, si nécessaire. La fiche de renseignements est alors communiquée au dispatcher. C'est lui qui prendra la décision d'envoyer telle équipe.
Pour ce faire, la plupart des polices locales ont procédé par délégation de pouvoir, permettant ainsi au dispatcher du CIC de prendre une décision et ce, selon une sorte de cahier des charges.
"En fait, chaque zone nous a fait part de sa politique policière que nous respectons à la lettre. Ceci dit, chaque zone de police peut reprendre la main et prendre les décisions qu'elle veut pour gérer elle-même une intervention. Le CIC est plutôt un organe de gestion des appels", explique Philippe Geonet
Signalons à cet égard qu'il existe une exception liégeoise. En effet, les polices locales de Liège, Seraing, Flémalle et Herstal continuent à gérer leurs interventions sur base des appels reçus au CIC et qui leur sont transmis en temps réel.
L'exception confirme la règle
À ce titre, on peut noter que tout n'est quand même pas rose puisque Liège, par exemple, a refusé de céder l'organisation de ses interventions car elle voulait garder la mainmise sur sa police, une sorte de "je paie, je décide !"
Pour le commun des mortels, cela ne change donc pas grand-chose, la qualité de "l'accueil" étant sensiblement la même.
À l'heure actuelle, un peu plus de 60 pc des appels sont traités dans les cinq secondes. Un peu plus de 95 pc le sont dans les vingt secondes. C'est un résultat positif et ce d'autant plus qu'une grosse majorité des appels qui arrivent au CIC ne concernent pas des interventions urgentes.
Source : www.lalibre.be (07/03/2008)
Le CIC de Liège centralise tous les appels d'urgence de la province. Les communes de Liège, Seraing, Flémalle et Herstal gèrent leurs interventions.
Après les zones téléphoniques de Huy, Verviers, Eupen, le CIC de Liège centralise, depuis lundi, les appels téléphoniques d'urgence de la zone 04. En clair, le Centre d'information et de communication (CIC) recevra environ 400.000 appels téléphoniques par an.
"Ces appels seront collectés et traités par une équipe de 79 personnes", explique le commissaire divisionnaire Philippe Geonet, le patron du CIC liégeois.
Centraliser les appels
Concrètement, si vous formez le 101 dans un endroit dépendant de la zone 04, vous arrivez au CIC. Là, un "call-talker", reçoit votre appel et prend les renseignements nécessaires pour diligenter une intervention policière, si nécessaire. La fiche de renseignements est alors communiquée au dispatcher. C'est lui qui prendra la décision d'envoyer telle équipe.
Pour ce faire, la plupart des polices locales ont procédé par délégation de pouvoir, permettant ainsi au dispatcher du CIC de prendre une décision et ce, selon une sorte de cahier des charges.
"En fait, chaque zone nous a fait part de sa politique policière que nous respectons à la lettre. Ceci dit, chaque zone de police peut reprendre la main et prendre les décisions qu'elle veut pour gérer elle-même une intervention. Le CIC est plutôt un organe de gestion des appels", explique Philippe Geonet
Signalons à cet égard qu'il existe une exception liégeoise. En effet, les polices locales de Liège, Seraing, Flémalle et Herstal continuent à gérer leurs interventions sur base des appels reçus au CIC et qui leur sont transmis en temps réel.
L'exception confirme la règle
À ce titre, on peut noter que tout n'est quand même pas rose puisque Liège, par exemple, a refusé de céder l'organisation de ses interventions car elle voulait garder la mainmise sur sa police, une sorte de "je paie, je décide !"
Pour le commun des mortels, cela ne change donc pas grand-chose, la qualité de "l'accueil" étant sensiblement la même.
À l'heure actuelle, un peu plus de 60 pc des appels sont traités dans les cinq secondes. Un peu plus de 95 pc le sont dans les vingt secondes. C'est un résultat positif et ce d'autant plus qu'une grosse majorité des appels qui arrivent au CIC ne concernent pas des interventions urgentes.
Source : www.lalibre.be (07/03/2008)
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