BRABANT WALLON : Rebellions contre policiers : les zones réagissent
2 participants
Page 1 sur 1
BRABANT WALLON : Rebellions contre policiers : les zones réagissent
www.actu24.be a écrit:Marre des actes de rébellions contre leurs policiers. Les zones de police se constituent parties civiles pour soutenir leur personnel contre les violences volontaires.
«Les policiers ne sont pas des punching-balls... »
La petite phrase est de Jacques Vandenbosch, chef de la zone de police de Jodoigne, et elle résume assez bien l'état d'esprit de la majorité des chefs de corps du Brabant wallon.
La chose est difficilement vérifiable, mais le sentiment est partagé : leurs hommes sont de plus en plus souvent victimes de violences injustifiées de la part des justiciables.
À Nivelles-Genappe, les chiffres dramatiquement élevés de 2008 (39 accidents du travail suite à des coups volontaires portés aux policiers) ont donné l'impulsion. Désormais, la zone se constituera partie civile à chaque fois que l'un de ses hommes aura été victime de coups et blessures volontaires ayant entraîné une incapacité de travail. Systématiquement. Le mécanisme n'est pas aussi radical dans toutes les zones. Certains chefs préférant se laisser une marge d'appréciation et aller en justice si l'affaire est d'une ampleur qui le justifie.
Une zone de police qui vient se greffer sur une procédure pénale en se constituant partie civile, c'est avant tout un geste fort à l'attention des policiers eux-mêmes. Car les sommes jusqu'ici accordées par les tribunaux ne montent généralement pas au-delà de 2 à 3000 euros. Normal. Les heures de travail du policier en incapacité sont déjà couvertes par une assurance contractée par la police. Ce qui est réclamé, ce sont les frais réels engendrés par le remplacement du policier . Exemple : un gilet pare-balles pour le remplaçant, une formation au tir, les munitions pour cette formation, bref, les frais réellement engagés par la zone suite à l'absence de son travailleur. Et cette procédure n'empêche pas le policier concerné d'entamer, à titre personnel, une procédure en responsabilité civile pour obtenir réparation.
Si la pratique n'est pas encore généralisée dans notre arrondissement judiciaire, il en est d'autres où c'est beaucoup plus courant. Le procureur du Roi de Nivelles, Jean-Claude Elslander, encourage les zones à agir en ce sens.
En coulisses, il se dit quand même que certains cas de rébellions pourraient être évités si la manière d'aborder les gens était différente. Mais là, c'est à chaque chef de zone de balayer devant sa porte, et beaucoup se disent prêts à le faire.
Re: BRABANT WALLON : Rebellions contre policiers : les zones réagissent
Bonjour, pendant les grandes vacances dans le Gembloutois, il y a eu plusieurs petites fêtes de village qui pour certaine l'intervention des services de police ont été necessaire.
J'ai entendu que certains jeunes c'étaient rebellés, certains ont été reconnu par le sevice de police. Aprés la bagarre, les jeunes sont rentrés chez eux sans être inquièté.
Pourquoi les services d'ordre ne sont-ils pas venu les choper chez eux?
J'ai entendu que certains jeunes c'étaient rebellés, certains ont été reconnu par le sevice de police. Aprés la bagarre, les jeunes sont rentrés chez eux sans être inquièté.
Pourquoi les services d'ordre ne sont-ils pas venu les choper chez eux?
Sujets similaires
» Brabant Wallon : trois zones de police attaquées devant le tribunal
» Des policiers de l’ouest du Brabant wallon au “ 71 ”
» Wavre: convention avec la province de Namur pour former les policiers du Brabant wallon
» Violence contre les policiers : Les policiers promettent de bloquer Bruxelles le 23 octobre
» Brabant Wallon
» Des policiers de l’ouest du Brabant wallon au “ 71 ”
» Wavre: convention avec la province de Namur pour former les policiers du Brabant wallon
» Violence contre les policiers : Les policiers promettent de bloquer Bruxelles le 23 octobre
» Brabant Wallon
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|