MASTER en sciences de la Santé publique finalité SIAMU

Bonsoir, quelqu'un du forum a-t-il suivi le MASTER en sciences de la Santé publique à finalité SIAMU qui se donne uniquement à Liège en ce qui concerne la partie francophone du pays.

Je ne parle pas des autres finalités du master, uniquement celle à finalité SIAMU. Quelqu'un pourrait-il me donner un retour de se master?


Merci d'avance

Salut,

(je préviens tout de suite, je n'ai pas fais ce master!)
Les échos que j'en ai eu:
les cours pratiques = révision de la spécialisation SIAMU
Les cours théoriques = bcp peu intéressants, mais malgré tout certains cours chouettes ...

Bjr,
Cela donnera quoi comme ouverture? Prof de Siamu?

Salut Cha, au niveau débouchés ben en fait c'est un "simple" master en santé publique sauf que l'ULG propose différentes finalités. Ces finalités te permettent essentiellement d'orienter ton mémoire vers un sujet qui te passionne. Aussi non sur le site de l'ULG on peut lire:

Le Master en sciences de la Santé publique donne accès à de nombreuses perspectives de
carrière, tant en Belgique qu’à l’étranger.
A titre indicatif

A L’ÉCHELON INTERNATIONAL : Membre d’Organisations Non Gouvernementales (ONG) •
Gestion de projets de coopération dans le domaine de la Santé publique et/ou de l’environnement •
Missions dans les pays en voie de développement • Coordination médicale • Soins de Santé
communautaire • Mise en place et coordination de services et programmes sanitaires • Installation de
structures hospitalières à l’étranger • Responsable de formation


SANTÉ SOCIALE (politique, éducation, promotion de la santé) : Gestion de programmes de santé
(niveau local et international) • Responsables de l’encadrement des activités de santé communautaire
(dépistages, consultations, …) • Secteur de la promotion et de l’éducation à la santé • Responsables de
projets et programmes dans les observatoires de la santé, dans les mutuelles, ministères, organismes
parastataux, services médico-sociaux publics ou associatifs • INAMI (Service de recherche, Service de
contrôle, Présidence de Commissions…) • Services de Médecine du Travail


SANTÉ-ENVIRONNEMENT, HYGIÈNE : Surveillance de l’environnement • Responsables de
programmes de recherche ou d’expertise • Conseillers de services de protection de l’environnement
(entreprises et collectivités) • Eco-conseillers • Responsables de projets et programmes dans les
ministères, dans le monde associatif • Conseiller au niveau communal, contrôle des eaux, Institut
Scientifique de Service Public (ISSeP), Institut Scientifique de Santé Publique Louis Pasteur (ISSP) •
Responsable de formation


HÔPITAUX ET STRUCTURES DE SOINS : Direction médicale, administrative ou financière •
Direction de départements infirmiers ou d’unités de soins • Gestion des données médicales •
Responsables de la gestion du RCM, du RIM • Direction des maisons de repos (MR et MRS) •
Responsable du service des archives médicales • Responsable de l'hygiène hospitalière • Gestion des
maisons médicales • Gestion de polycliniques urbaines • Responsable de la diététique hospitalière •
Responsable du secteur « éducation du patient » • Coordonnateur de missions d'urgence • Responsable
de l'hôtellerie hospitalière


SEXOLOGIE : Accueillant ou consultant dans un service de planning familial • Responsable d'unité
« MST » (maladies sexuellement transmissibles)


HAUTES ECOLES : Enseignement • Recherche


UNIVERSITÉ : Enseignement • Recherche


SECTEUR PRIVE : Industries pharmaceutiques (Recherche et Développement, Medical affairs,
Medico-marketing, Data management, Outcomes Research, Epidémiologie…) • Sociétés informatiques
impliquées dans le domaine de la Santé (télématique, télémédecine…) • Organismes assureurs (service
de recherche…) • Monde de l’industrie : gestion des déchets hospitaliers, assurance hospitalière, audit
hospitalier, installation de structures hospitalières à l'étranger, informatique hospitalière

Concrètement: le master en santé publique est indispensable pour enseigner (Que ce soit en haute école, ou à l'université). C'est également nécessaire pour passer infirmier chef plus tard.

Ou comment ne plus s'occuper des patients...

J'ai un ami qui l'a fait, sans avoir fait la SIAMU d'abord, et bien il n'a pas le droit de rouler en Smur. Il n'y a pas d'accès au titre particulier SISU.

J'ai un pote qui est entrain de le faire.

Il ne pisse plus tellement qu'il pleure car il se fait ch*** comme un rat mort. Bref un master en santé publique.

Il serait grand temps que le législateur prenne conscience que les conférences de "je ne sais plus trop quel bled paumé où se sont réunis des experts en santé publique pour définir les soins de santé primaires" n'intéressent pas les infirmiers souhaitant augmenter leurs compétences dans leurs domaines.

Il faut créer un master en soins critiques ou les infirmiers pourront augmenter leur niveau de compétence en suivant des cours approfondis d'anatomie, physiologie, biochimie, des cours de clinique, de pratiques avancées, de médecine d'urgence, intensive ou d'anesthésiologie. Donner à la profession infirmière ; les lettres de noblesses qui lui sont due de par sa pratique quotidienne mais qui n'est pas reconnue car cela arrange bien beaucoup de monde.

Zippy a écrit:J'ai un pote qui est entrain de le faire.

Il ne pisse plus tellement qu'il pleure car il se fait ch*** comme un rat mort. Bref un master en santé publique.

Il serait grand temps que le législateur prenne conscience que les conférences de "je ne sais plus trop quel bled paumé où se sont réunis des experts en santé publique pour définir les soins de santé primaires" n'intéressent pas les infirmiers souhaitant augmenter leurs compétences dans leurs domaines.

Il faut créer un master en soins critiques ou les infirmiers pourront augmenter leur niveau de compétence en suivant des cours approfondis d'anatomie, physiologie, biochimie, des cours de clinique, de pratiques avancées, de médecine d'urgence, intensive ou d'anesthésiologie. Donner à la profession infirmière ; les lettres de noblesses qui lui sont due de par sa pratique quotidienne mais qui n'est pas reconnue car cela arrange bien beaucoup de monde.

Bien vrai ce serait plus intéressant et tentant...

Zippy a écrit:

Il serait grand temps que le législateur prenne conscience que les conférences de "je ne sais plus trop quel bled paumé où se sont réunis des experts en santé publique pour définir les soins de santé primaires" n'intéressent pas les infirmiers souhaitant augmenter leurs compétences dans leurs domaines.

Il faut créer un master en soins critiques ou les infirmiers pourront augmenter leur niveau de compétence en suivant des cours approfondis d'anatomie, physiologie, biochimie, des cours de clinique, de pratiques avancées, de médecine d'urgence, intensive ou d'anesthésiologie. Donner à la profession infirmière ; les lettres de noblesses qui lui sont due de par sa pratique quotidienne mais qui n'est pas reconnue car cela arrange bien beaucoup de monde.